self

l'article complet est disponible en scans : (de même en taille réelle si vous cliquez dessus)



je précise également que je m'atèle à une traduction complète de l'article que je posterai ensuite sur mon blog et peut être sur le forum dans la ou les semaine(s) qui suivent... (ça prend un peu de temps et c'est en plus de mon boulot quotidien alors j'espère que vous comprendrez le délais d'attente).

et voilà, ça été un monstre de boulot à faire mais je les fais (youpi pour moi lol)
voici l'a traduction complète de l'interview de Sarah pour le magazine SELF

l'article est également sur mon blog dans une version illustrée : http://modelsarah.blogs.allocine.fr/modelsarah-125882-self_magazine___octobre_2007__traduction_complete_de_larticle.htm





Bien que la séance de photos de Sarah Michelle Gellar est eut lieu l’un des jour les plus brumeux de l’été New Yorkais, la très enthousiaste actrice en couverture a donné une vraie bouffée d’air frais à cette journée. Les raisons :







(légende photo : Près des livres – Gellar est une grande lectrice et collectionne les premières éditions. « Je travaille sur une collection complète du Dr Seuss. »)

Quand vous interviewez des célébrités quotidiennement pour votre boulot (je me suis assise en face de plus d’une soixantaine de stars pour Self), vous avez tendance à prévoir certaines choses : des plaintes envers les paparazzi, des « déjeuners » consistant en un petit sandwich allégé en tout et un Coca light ; ainsi qu’une arrivée tardive excusée par un simple et discret « oh, suis-je en retard ? ». C’est pourquoi lorsque je suis arrivée au Tribeca Grill au cœur de New York avec une bonne demi heure d’avance pour rencontrer Sarah Michelle Gellar, j’étais plus que surprise de la voir déjà installée à une table du coin, sirotant un café. Et quand elle a demandé à la serveuse de nous apporter la carte des desserts, j’en suis presque tombée à la renverse. Malgré avoir tenue le rôle icône de Buffy la Tueuse de vampires pendant sept années et jouée des rôles principaux dans deux films très attendus – The Air I Breathe et Addicted – la célébrité n’ait visiblement pas montée à la tête de Gellar. Pendant nos deux heures d’interview, cette native de New York au parlé rapide avait beaucoup de choses à dire. Mais peut être que le plus parlant fut les choses qu’elle n’a pas dites (et que vous ne pourriez jamais imaginer sortir de sa bouche !) Par exemple…

Vous ne l’entendrez jamais dire
« J’ai demandé à mon chauffeur de passer nous prendre. »
Un Chauffeur ? Mais non ! Dès la première saison de Buffy, Gellar est arrivée et repartie du plateau de tournage au volant de sa Chrysler LeBaron verte. « Vous entendez parler de ces gens qui arrive à L.A., tournant leur premier pilot de série et s’achète les Porsche et tout ci tout ça. Mais je ne pouvais tout simplement pas le faire, » dit-elle. Maintenant qu’elle est de retour à la maison dans la ville qui ne dort jamais, gagnant des millions par films, elle possède un superbe moyen de locomotion : son vélo. « Non seulement il est rose et possède la sonnette, les franges et tout ce qui va avec, mais il a également Hello Kitty. A chaque fois que je quitte mon appartement, mon portier secoue la tête » dit-elle.
Dépenser est une chose que Gellar a commencé a faire tardivement. En plus de partager un loft dans le quartier de Tribeca avec son mari Freddie Prinze Jr., elle possède également une maison à Los Angeles. Mais elle est prudente avec son argent. « J’ai été élevée par une mère célibataire. Les fins de mois étaient serrées » rappelle-t-elle. En effet, quand Sarah a débuté sa carrière à l’âge de 4ans « ça a commencé plutôt pour le côté financier. Ma maman a pensé, whoua, peut être peut-on en tirer de l’argent. Je pourrais aller dans une école privée. » Elle ajoute : « Au passage, 100 publicités ne couvre pas un enseignement en école privée, ce qui est vraiment effrayant ! J’ai également eut une formation scolaire. » L’éducation était une priorité à la maison Gellar. « Si mes résultats baissaient, il n’y avait pas d’auditions » dit-elle.

Vous ne l’entendrez jamais dire
« Dites à votre secrétaire de contacter la mienne. »
Un signe montrant à quel point les relations humaines compte pour Gellar est son obsession avec les cartes de remerciements. « J’en écrit pour toutes sortes d’occasions, parce que je sais que ça me fait plaisirs dans voir dans mon courrier. Je suis une personne qui aime les gadgets, mais je n’écris pas d’e-mail. Les e-mail c’est pour des renseignements comme : « A quelle heure est ton vol ? » » Et ce n’est pas un mot fait par son assistante. « Je le fait moi-même. C’est mon écriture sur l’enveloppe, et j’achète le timbre, » dit Gellar. (Moins d’une semaine après le photo shoot de Self, l’ensemble des personnes présentes sur le tournage avait reçu une carte de sa part).
C’est en partie ce goût pour les relations humaines qui a ramené Gellar à Manhattan. Parlant de la vie à Hollywood, « je me sentais un peu étouffée. La seule chose que je faisais chaque jour était de prendre ma voiture pour aller au travail et en revenir. J’étais en train de perdre ma conversation ! » A New York, Gellar a rapidement renoué avec ses anciennes amitiés. « Etre acteur peut être un travail solitaire quelques fois. Vous ne savez pas toujours à qui faire confiance. J’ai vraiment eut beaucoup de chance. J’avais ma famille. J’avais les mêmes amis. En regardant les photos sur les étagères dans mon appartement, les personnes sur celles datant de la semaine passée étaient les mêmes que quand j’avais 5 ans. »

Vous ne l’entendrez jamais dire
« Je ne prendrai qu’une salade. Je fais attention à ma ligne. »
Gellar suit un régime très stricte qu’elle résume en deux mots : les bonnes choses. « Je ne suis pas quelqu’un qui mange beaucoup de hamburgers, hot dog et autres cochonneries. J’aime les pretzels, mais je préfère un bon steak. Je préfère prendre un bon repas. Je préfère dîner. » En effet, si vous avez la chance de vous joindre à Gellar et Prinze (qui a étudier dans une école de cuisine avant de devenir acteur) pour le dîner, sachez que vous ne quitterez pas la table avant au moins trois bonnes heures et demi et qu’aucun plat ne vous sera refusé. « Je mangerai presque de tout » dit-elle. Son plat préféré du moment ? « J’ai mangé un très bon plat de veau hier soir. Et j’adore vraiment les sushi. Oh, et vous savez de quoi je raffole ? Quand vous allez dans un bistro et que vous commander des frites bien croustillantes que vous plongez dans une sauce au vin blanc. »
C’est un peu difficile de croire que Gellar élimine tout ça sachant qu’elle mesure un peu moins d’un mètre soixante et a une taille de guêpe. Mais elle se met en appétit en étant très active. Enfant, elle a obtenue la troisième place en patinage artistique dans l’état de New York, et plus tard elle décrocha sa ceinture marron de taekwondo. Plus récemment, elle s’est mise au tennis. « J’étais en vacances à Noël dernier et Andy Roddick était là. Je le regardait jouer et j’ai pensé : whoua, ça a l’air amusant ! » Aujourd’hui elle est sur les courts deux fois par semaine. « Freddie a commencé à pratiquer également, » dit-elle « il est bien meilleur que moi, et ça me rend vraiment malade ! » Malgré le fait que Gellar plaisante sur le fait de vouloir battre son mari au tennis, elle s’efforce à réussir que ce soit en sport ou à l’écran. « Je suis en compétition avec mon mari parce que c’est amusant, mais je me bats surtout contre moi-même. « Si je fais quelques chose, » dit-elle « je veux le faire mieux la fois d’après pour me prouver que je peux le faire. »

Vous ne l’entendrez jamais dire
« Mon âge ? Oh, j’ai… hum… 29 ans ! »
Contrairement à toutes ces beautés d’Hollywood qui assure être « dans leur vingtaine » pendant 13 à 14 ans, Gellar est joyeusement et publiquement dans la trentaine. (Elle a fêté ses 30 ans en avril est l’a fêté lors de soirées à Los Angeles et New York). « Vous savez qu’on dit que les femmes sont vraiment elle-même quand elle entre dans la trentaine ? Je commence à croire que c’est la vérité, » dit-elle. « Je n’y suis peut-être que depuis quelques mois, mais je me sens plus mûre. Je me sens plus à l’aise. J’apprends qu’il est normal d’aimer ce que vous êtes. »
Bien qu’elle soit satisfaite de sa vie, elle dit « je veux toujours grandir et apprendre de nouvelles choses. Quand vous êtes plus jeune, 30 ans paraissent si loin. Vous avez toutes ces idées de choses que vous voulez accomplir, et il y a certaines choses que je n’ai pas encore faites. Mes amis ne veulent pas en entendre parler – ils sont là à me dire : « regarde ce que tu as accompli à 30 ans ! » Et je ne le renie pas. Mais il y a encore des endroits que j’aimerai visiter. »
Bien que la carrière à succès de Gellar ait commencé presque accidentellement (un agent l’a repérée toute jeune lors d’une sortie avec sa maman), elle a été remplie d’un travail très sérieux. Pendant Buffy, elle dit « Une série entière dépendait de moi. Fox m’avait dit que pas un acteur avait plus d’heures par semaine que moi. En fait, sur X-files ils y en avaient plus mais elles étaient partagées entre David Duchovny et Gillian Anderson. C’était une plaisanterie très courante pour montrer à quelques points mon emploi du temps était terrible. » Dans une industrie peuplée de talentueux acteurs qui ne quitteront cependant jamais les petits boulots, Gellar croit « en l’ambition qui vous fait aller plus loin. C’est le fait d’être motivé pour quelque chose que vous voulez, être confiant. L’assurance est souvent confondue par erreur avec le narcissisme, une personne gonflée d’ego. Si vous voulez quelque chose dans votre vie sachez que l’on est sur cette terre pour peu de temps. Aller le chercher, faites ce qui vous rend heureux. »

Vous ne l’entendrez jamais dire
« Bien sûr que je donne de mon temps, après tout je conduits une voiture écolo »
Après ce grand cap des trente ans, Gellar a fait le point sur sa vie. « J’ai fait un merveilleux mariage, j’ai de super amis. Je fais un métier que j’aime et les projets qui me font envies. Mais une chose me manquait, » dit-elle. Bien qu’elle est toujours consacrer le maximum de son temps à des associations caritatives comme la fondation Make-A-Wish, Habitat For Humanity et The Young Survival Coalition (« 16 femmes de mon entourage ont été concernées par le cancer du sein et elles s’en sont toute sorties » dit-elle) elle sentait qu’elle devait encore trouver sa voie. « Si je peux faire la couverture de magazines circulant dans le monde entier et pouvant toucher autant de personnes, je veux trouver un moyen qui fasse la différence. » Elle a demandé de l’aide à un ami qui tient une affaire philanthropique. « Elle dit : C’est comme le speed dating. Vous vous renseigner sur plusieurs associations. Vous allez toutes les trouvez intéressante. Mais une en particulier va vous convenir, une action pour laquelle vous sentez que vous devez vous battre. »
Pour Gellar, cette association fut l’organisation CARE qui lutte pour évincer la pauvreté sur notre planète. « Mon premier voyage avec eux fut au Guatemala, » dit Gellar. « Je suis descendue de l’avion et j’ai eut ce moment de doute : « Est-ce que je peux vraiment faire ça ? Je suis une fille de la ville. Je ne fais pas pipi sur les bords des routes. Je me douche deux fois par jour ! » C’est une expérience qui m’a enrichie. J’ai réalisé ce que nous pouvions apporter à ces gens. » C’est particulièrement important pour Gellar que « une grosse part de l’action de CARE est aussi de donner du pouvoir aux femmes et aux enfants » parce qu’elle se sent elle-même chanceuse de la force intérieure qu’elle a gagné en étant élevée dans un foyer à parent unique. « Ma maman et moi devions nous débrouiller seule. Il n’y avait personne d’autre. Si nous voulions acheter un poste de télévision, on devait les porter jusqu’à la maison. Il n’y avait personne d’autre pour le faire. Si nous voulions accrocher un tableau au mur, on le faisais nous même. Ce fut une grande leçon de vie et cela m’a rendue terriblement indépendante. Donner du pouvoir aux femmes c’est changer le monde. »

Vous voulez aidez l’organisation CARE ? Voilà comment
Quand Gellar a commencé à travailler pour CARE, elle dit avoir été étonnée de constater « la différence que vous pouviez faire autant au niveau personnel qu’à grande échelle. » Quand elle a accepté de faire la couverture pour Self et a également voulu pouvoir faire participer les lecteurs. Self travaille avec CARE pour réunir 100 000 dollars par l’intermédiaire de donations faites sur selg.com qui seront doublés au dollar près par la femme d’affaire et ambassadrice de CARE Sheila Johnson dans le cadre de son challenge pour l’association (I Am Powerfull challenge). Gellar a également participée à la création d’un pendentif en or de 14 carats avec la styliste en bijouterie Helen Ficalora. Ce collier est en vente sur self.com, et 25% des 185 dollars seront reversé à l’association. Donc, que ce soit pour vous procurer un nouveau collier ou pour faire un don, aidez nous a regrouper les 100 000 dollars qui supporteront le travail de Gellar et de CARE.

voici une photo de sarah prise lors de son interview pour le magazine self : elle est en compagnie de la responsable de l'article
j'adoooooooooooooooore !!!!!!!!!!!!